Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
7 août 2012 2 07 /08 /août /2012 15:16

         velowc.jpg

 

          Voilà qui va intéresser les propriétaires de fosses septiques, qu' ils soient ou non en butte aux tracasseries d' un SPANC ( menaces d' amendes, fréquence et coût des contrôles ...), ce qui fait beaucoup de monde : 5 millions d’ installations en France pour 12 millions de personnes concernées.

 

           En effet, de nouveaux textes, parus au journal officiel,  s' appliquent à partir du 1er juillet 2012 afin de mettre les précédents en conformité avec la loi Grenelle 2 et suite au constat du " mécontentement collectif des usagers, des élus, des SPANC et des fabricants "  ainsi que de l' irréalisme de la volonté première de réhabilitation de l' ensemble des installations existantes ( un total de 40 milliards d' euros alors que les installations particulières représentent moins de 5% de la pollution).Il fallait donc tenir compte du ratio coût /bénéfice pour la santé et l’environnement et mettre sur pied une harmonisation nationale des SPANC , tout en conservant l‘objectif d‘ avoir contrôlé au moins une fois toutes les installations avant fin 2012.

 

          Ce qui change :

         • Les contrôles déjà effectués restent bien sûr valides, mais si le rapport de contrôle ne comporte pas de conclusion, le contrôle sera déclaré non conforme. Il faudra alors prévoir une nouvelle visite à la charge du SPANC (pas de modification du rapport de visite sans nouvelle visite sur le terrain). 

         •  La loi « Grenelle II » est très claire : il ne peut y avoir réhabilitation que s’il existe un danger sanitaire ou un risque environnemental avéré. Donc le SPANC, lorsqu’il prescrit une réhabilitation, doit la justifier.

         • Le délai entre deux contrôles est porté à 10 ans.

 

Un lien utile, vers la CLCV (Association nationale de consommateurs et d’ usagers) : link

 

Sylvain COSTET

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 11:30
La mairie de Larajasse a reçu ce courrier la semaine dernière.
Nous vous invitons à demander aux conseillers municipaux leurs avis sur
le sujet. A ce jour nous n'avons reçu aucune réponse de la municipalité
de Larajasse sur la délibération proposer à  l'automne dernier ni sur les
dispositions prises pour éviter une pollution de la commune par les OGM.

La Ruche de l'Ecologie
_______________________________________________________________________

A l'attention des conseils municipaux
Le 13 mai 2009

Objet : Printemps de la Bio sur le thème : Biodiversité et semences
paysannes


Madame, Monsieur, le Maire,
Mesdames et Messieurs les conseillers municipaux,


Au mois de novembre dernier, dans le cadre de la semaine internationale
de la solidarité, la Ruche de l'Ecologie et Peuples solidaires vous ont
envoyé une proposition de délibération en faveur de la biodiversité et
du droit des paysans et jardiniers à échanger librement les graines
qu'ils produisent. Certaines communes nous ont transmis
leur décision et nous les remercions.

Le sujet reste malheureusement toujours d'actualité. La biodiversité est
menacée par le changement climatique, la pollution des pesticides et des
manipulations génétiques, les prétentions autoritaires et financières de
quelques industriels de l'agrobusiness.
Il est donc important de soutenir une agriculture, des savoirs faire et
une économie respectueuse des hommes et de l'environnement. Pour cette
raison nous invitons chaque année les communes à  s'informer lors
d'événements organisés pour le Printemps de la Bio mais aussi à  venir
partager un temps de convivialité sur le marché biologique de Ste Foy
l'Argentière.

Voici deux dates à  retenir :
- Le mercredi 27 mai à 20h au cinéma Paradiso de St Martin en Haut,
projection du film « l'Ortie, Fée de la résistance !». Ce film, plein
d'espoir et d'humour, réhabilite les vertus d'une plante riche en
protéines et vitamines, dépolluant les sols et utilisée dans de
nombreuses applications au jardin.
- Le samedi 6 juin à  partir de 9h, un échange de plants, de semences,
d'extraits végétaux et de savoirs faire sur le marché biologique de Ste
Foy l'Argentière. Un repas réalisé avec les produits des exposants sera
servi à partir de 12h30 dans le parc de la mairie. (merci de réserver au
04 74 26 35 96. Prix du repas 7 euros ).

Pour continuer à donner l'exemple et semer cette biodiversité autour de
nous, nous vous proposons de semer une plante rare sur un parterre
communal et de la laisser monter en graines. Les caractéristiques de
cette variété pourront être affichées sur une pancarte pour informer le
public.
La récolte des graines sera distribuée à  d'autres jardiniers souhaitant
parrainer cette plante. Les membres de la Ruche de l'Ecologie et de
Peuples solidaires sont à votre disposition pour vous fournir quelques
variétés de plantes à  reproduire.

En espèrant vous rencontrer pour ce printemps de la Bio, nous vous
prions madame, monsieur le maire, mesdames et messieurs les conseillers
municipaux de recevoir nos sincères salutations printanières.


Le CA de la Ruche de l'Ecologie et des membres de Peuples Solidaires
associés aux Amis du marché Bio

Informations complémentaires sur le site internet : www.printempsbio.com
et www.semonslabiodiversite.org
Partager cet article
Repost0
19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 10:58
Ne vous laissez pas envahir d'antennes
Bouygues Telecom condamné à les démonter

Une première en France : une cour de justice a donné raison aux riverains d’une antenne-relais, au nom du principe de précaution. L’opérateur de téléphonie mobile Bouygues Telecom a été condamné à démonter l’une de ses antennes-relais, accusée de provoquer de nombreux maux dans son voisinage.

Pour la première fois en France, une cour de justice rend un arrêt concernant un risque sanitaire en vertu du principe de précaution. La cour d’appel de Versailles a confirmé, mercredi 4 février, la condamnation en première instance par le tribunal correctionnel de Nanterre de Bouygues Telecom. L’opérateur de téléphonie mobile devra démonter les installations d’émission-réception de l’une de ses antennes-relais, située à Tassin-la-Demi-Lune, en banlieue de Lyon (Rhône). Les riverains de l’antenne s’étaient plaints de maux de têtes, nausées, palpitations cardiaques, liés selon eux à la présence à quelques mètres de leurs habitations de cette antenne-relai appartenant à Bouygues Telecom.

Une application concrète du principe de précaution

Il n’y a pourtant dans le dossier aucune preuve tangible du lien entre la présence de cette antenne et les maux des plaignants. Mais, selon l’arrêt de la cour d’appel, « aucun élément ne permet d’écarter péremptoirement l’impact sur la santé publique de l’exposition de personnes à des ondes ou des champs électromagnétiques ». Autrement dit, on ne doit pas laisser fonctionner une antenne-relai si elle est soupçonnée – même sans preuve – de provoquer des problèmes de santé chez les riverains. C’est tout simplement l’application du principe de précaution, inscrit dans la Charte de l’environnement donc imposé par la loi, mais quasiment jamais appliqué en France.

« Bouygues Telecom ne peut pas garantir l’absence de risque sanitaire. Cela provoque une crainte fondée des riverains, qui constitue un “trouble du voisinage” au sens juridique » explique Marie-Pierre Maitre, avocate spécialisée dans l’environnement. Le dossier est comparable à l’affaire Alsthom, condamné à verser des dommages et intérêts aux personnes ayant été en contact avec de l’amiante, au motif qu’elles devront vivre avec la peur de déclarer une maladie liée à cette exposition. « Le démontage – et non simplement le déplacement – de l’antenne est sans précédent » affirme Me Marie-Pierre Maitre. Une jurisprudence est aujourd’hui possible, avec un renversement de la charge de la preuve, puisque c’est à Bouygues Telecom de prouver l’innocuité de son installation. De quoi inquiéter les opérateurs.

Les opérateurs surpris et inquiets
Dans un communiqué, l’Association française des opérateurs mobiles (AFOM), qui s’exprime au nom notamment des trois opérateurs nationaux, se dit surprise et perplexe. Elle rappelle avant tout que SFR, Orange et Bouygues Telecom ont des obligations de couverture du territoire vis-à-vis de l’Etat français, et demande donc que les « pouvoirs publics s’expriment clairement et fortement sur le sujet des antennes-relais et de la santé ». L’AFOM soutient que cet avis juridique « ne correspond à la position d’aucune autorité sanitaire nationale, ni à celle de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ».

Les autorités sanitaires ne se sont certes jamais prononcé dans le sens d’un danger palpable des ondes électromagnétiques. L’OMS reconnait par exemple le syndrome d’Hypersensibilité électromagnétique (HSEM) – un ensemble de symptômes provoqués par l’excès d’ondes dans l’environnement – sans pour autant la relier à une exposition aux champs électromagnétiques. Mais de plus en plus d’études convergent vers un risque accru lié à la proximité des antennes d’émission-réception, voire à l’utilisation prolongée du téléphone portable. Le concept de syndrome d’intolérance aux champs magnétiques est déjà reconnu en Suède, et soutenu en France par l’éminent cancérologue Dominique Belpomme (voir article lié).

Prise en compte d’une « incertitude »
C’est d’ailleurs en se basant sur les avancées de la recherche sur la dangerosité des ondes que la cour d’appel aurait pris sa décision : « il ressort de la lecture des contributions et publications scientifiques produites aux débats et des positions législatives divergentes entre pays, que l'incertitude sur l'innocuité d'une exposition aux ondes émises par les antennes relais, demeure et qu'elle peut être qualifiée de sérieuse et raisonnable ». « L’incertitude et la crainte des habitants constituent des preuves suffisantes pour appliquer le principe de précaution » soutient Me Marie-Pierre Maitre. Au-delà de l’application du principe de précaution, on peut donc lire dans cet avis de la cour d’appel une prise en compte des inquiétudes des consommateurs, vis-à-vis d’un sujet encore mal maitrisé. Mais également, une prise au sérieux des symptômes dont ils souffrent.

L’association Priartém (Pour une réglementation des implantations d’antennes-relais de téléphonie mobile) a exprimé sa « joie » à l’annonce du verdict, et demande « aux parlementaires de se saisir du débat ». Agir pour l’environnement souligne que cet appel intervient alors que le Sénat s’apprête à étudier le projet de loi-cadre du Grenelle de l’environnement, qui, comme le projet d’application, « fait largement l’impasse sur la problématique des antennes-relais et plus globalement sur la question des expositions chroniques aux champs électromagnétiques à faibles doses ».

Bouygues Telecom a 4 mois pour démonter l’antenne, sous astreinte de 500 euros par jour de retard. L’entreprise devra également verser 7000 euros de dommages et intérêts à chacun des plaignants, trois couples de Tassin-la-Demi-Lune. Les avocats de l’opérateur examinent la possibilité de se pourvoir en cassation.

Sur Montrottier, depuis 2001, huit antennes de téléphonie mobile de Bouygues sont camouflées dans le clocher de l’église. Elles diffusent en permanence des ondes électromagnétiques sur les riverains et les écoles.
L’association Pour une téléphonie mobile respectueuse de la santé a informé la population par différents moyens : publications, conférences, manifestations, mesures des ondes. Deux actions en justice ont été menées et n’ont pas abouti. Les juges se sont déclarés incompétents car à cette époque la justice n’avait pas l’habitude de traiter ce genre d’affaire.
Maintenant, partout en France des personnes s’organisent en Collectif pour demander l’application du principe de précaution.
Aujourd’hui, est-ce que l’affaire de Tassin pourrait en débloquer d’autres ? …

Association Pour une téléphonie mobile respectueuse de la santé -Montrottier
Renseignements :
Brigitte Mogenet 04 74 70 11 18
Véronique Subrin 04 74 70 14 97
Thierry Manceau 04 74 70 18 71
Georges Thévenet (centre du village)
Partager cet article
Repost0
19 janvier 2009 1 19 /01 /janvier /2009 10:34
Une station de base WIMAX utilisant la bande de fréquence de 3,5 Ghz ,celà signifie que l'utilisateur de cette technologie herzienne recevra 3,5 mille millions d'herz sur son antenne soit 3,5 mille millions d'oscillations par seconde en un même point ,et pourra être exposé jusqu'à 61v/m .
C'est le prix à payer pour obtenir ce très haut débit , coûteux par ailleurs  et quand on connaît  les atteintes sanitaires avérées par scientifiques et médecins sous le GSM 900 , on peut se poser la question de savoir si le jeu en vaut la chandelle ..
Il existe d'autres solutions et notamment l'utilisation de fibres optiques , plus contraignantes mais aussi plus sûres , qui épargnent la santé des citoyens , et qui respectent le choix individuel d'être ou non exposé aux nuisances électromagnétiques  

Aline Lardon  coordinatrice PRIARTEM  69590 POMEYS
Partager cet article
Repost0
8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 14:46

L’implantation du système 3G aux Loives questionne à la fois sur l’accès Internet Haut Débit pour la population jarsaire et également sur la santé humaine.

Concernant l’accès Internet Haut Débit, l’idéal serait que chaque habitant qui le souhaite, puisse bénéficier d’une connexion filaire à son domicile car ce type de connexion a peu d’effet sur la santé, contrairement aux ondes des téléphones portables ou du wifi.

Comme cet idéal est loin de se réaliser sur notre territoire communal, Madame Le Maire avance que le système 3G est la seule solution actuelle qui puisse répondre à une demande de connexion Haut Débit sur des territoires non couverts. Soit, mais le problème est que l’utilisation du 3G est plus coûteuse et qu’elle passe par l’utilisation du téléphone portable ou d’une carte 3G.

Une antenne de téléphonie mobile, comme les ondes du téléphone portable, a des effets sur la santé des personnes et des animaux. Cependant, il est important de faire la distinction entre les effets d’une antenne et ceux causés par l’utilisation du téléphone portable.

Concernant les antennes, en 2001, une première étude scientifique française sur le sujet a souligné de nombreuses plaintes d’irritabilité, de tendance dépressive et de vertiges à moins de cent mètres d’une antenne. Une antenne relais a donc des effets sur la santé pour les personnes qui habitent à proximité.

Par contre, à chaque fois que l’on utilise un téléphone portable, des ondes sont émises et celles-ci sont encore plus néfastes. Il existe plus de 300 études internationales qui confirment la dangerosité de ces ondes. Les personnes qui utilisent de manière intensive leur téléphone portable sont davantage soumises aux ondes. Le système 3G suppose d’être en communication lorsqu’on navigue sur Internet. Le temps de communication est souvent plus long qu’un simple appel. Pendant ce temps, on est soumis aux ondes. De plus, l’intensité des radiations augmentent selon la difficulté de réception (que l’on converse ou que l’on surfe). Ainsi, lorsque vous utilisez votre téléphone portable sur une zone de moindre couverture, la puissance est considérablement majorée.

Il ne s’agit pas d’être contre l’innovation technologique mais de se prémunir des effets de celle-ci sur la santé de la population.

 

Alors que faire ?

 

En premier lieu, revoir sa propre utilisation du téléphone portable selon les points suivants :

 

- Limiter les communications ;

- Choisir un téléphone dont la valeur de DAS est la plus basse ;

- Eviter de porter le téléphone sur soi ;

- Préférer le kit piéton pour éloigner l’appareil de l’oreille ;

- Ne pas téléphoner en voiture (même à l’arrêt) à cause de l’effet « Cage de Faraday » ;

- Ne pas téléphoner en se déplaçant car recherche du réseau en permanence ;

- Ne pas dormir avec son téléphone à côté de soi.

 

En second lieu, il est également souhaitable d’adopter une démarche globale et de faire pression car la Mairie doit désormais informer ses administrés d’une nouvelle implantation d’une antenne relais (ce qu’elle a fait !) mais elle pourrait aussi appliquer le principe de précaution à son niveau. Le 1er octobre dernier, l’opérateur Bouygues Telecom a été condamné à retirer une antenne relais en France, au nom du principe de précaution et des effets sanitaires potentiels induits par une exposition aux champs électromagnétiques de la téléphonie mobile. Cette procédure met en relief l’absence de réglementation nationale qui oblige les riverains à faire appel à la Justice pour obtenir l’application d’un droit pourtant inscrit dans le préambule de la Constitution. Des associations ont été créées pour défendre les droits et la santé de chacun, notamment PRIARTEM, le CRIIREM ou encore Agir pour l’environnement (voir explication à la fin de l’article).

 

En conclusion : soyez vigilants avec l’utilisation que vous faites de votre téléphone portable et pensez aux riverains des antennes relais qui, eux, sont exposés 24 heures sur 24, qu’il y ait la technologie 3G ou pas ! Les maires de France vont certainement devoir se soucier de ce fléau électromagnétique dont les conséquences graves se mesureront sur les prochaines décennies.

 

Eddy MANON-RUYANT

 

PRIARTEM : Association Pour une réglementation des implantations d’antennes relais et de téléphonie mobile www.priartem.com

CRIIREM : Centre de recherche et d’information sur les rayonnements électromagnétiques non ionisants www.criirem.org

Agir pour l’environnement www.agirpourlenvironnement.org

Partager cet article
Repost0
27 juin 2008 5 27 /06 /juin /2008 15:11

Vous avez depuis 10,20, 30 ans ou plus entretenu votre fosse septique, apporté des modifications au besoin, éventuellement payé pour les vidanges nécessaires. Vous n’avez jamais demandé de recevoir une subvention pour entretenir votre fosse septique. C’est tout à  fait normal – et dans votre propre (sic) intérêt !

 

Alors quelle fut ma stupéfaction de voir affichée une information du conseil indiquant  qu’après contrôle par les techniciens du SPANC ( structure  de contrôle et de conseil ), filiale de la SIMA Coise ,à laquelle adhère la commune de Larajasse, que « seuls les points noirs du contrôle seront subventionnés  pour la remise en état »

 

En clair, cela veut dire que celui qui ne s’occupe pas du tout de sa fosse septique – ou qui n’en a pas  -  ceci malgré l’obligation depuis plus de 30 ans  -  et que cela ne dérange pas de vivre dans des conditions d’hygiène non conformes, pourra bénéficier de subventions pour se mettre aux normes d’hygiène qui en fait sont obligatoires. !!

 

Quand est- ce que des fonds publics seront utilisés pour faire avancer des choses publiques au lieu de financer des cas d’irresponsabilité personnelle.

 

C’est un délit avec amende de 5000€ de laisser couler des excréments à travers champs vers les rivières. 

Au lieu de notifier les coupables et faire appliquer la loi on va subventionner les fautifs pour qu’ils ne le fassent plus !

 

Sera-t- il bientôt de même pour notre voiture pour que nous n’ayons plus à payer pour les réparations après  le constat de défauts graves lors du contrôle technique ?

Dominic Ditchfield

 

Partager cet article
Repost0
20 mai 2008 2 20 /05 /mai /2008 14:00
Larajasse est dernier de la classe en matiere de tri des dechets et des ordures ménagères.
29.5% des sacs jaunes  -  qui sont destinés à être triés et leur contenu recyclé -  en provenance de la commune de Larajasse ne peuvent etre recyclés.
Ceci peut être comparé avec des communes voisines  Coise ou Duerne avec seulement 20.1% de rejet. Que l'on ne pense pas que c'est à cause de la ruralite puisque même la campagne de St Martin en Haut  avec 19.4% ne livre que 10% de moins que Larajasse de sacs devant être rejetés.
Pour moi il s'agit d'un esprit écologique à développer par l'ensemble des habitants de la commune. Et où mieux commencer que par une information à tous par la Mairie et de la part de tous les conseillers.
Je souhaite voir une vraie volonté de Mme Le Maire et de ses conseillers de sensibiliser la population , de déléguer un intervenant pour former les enfants dans les écoles ( comme cela a été fait a Coise).
Il s'agit de notre avenir, de l'avenir de nos enfants et de l'image de notre commune.
Relevons le defi, soyons la commune qui trie le mieux ses dechets dans les Monts du lyonnais !
Cela ne coute rien - et cela nous apportera gros pour l'avenir.

Dominic Ditchfield
Partager cet article
Repost0
19 mai 2008 1 19 /05 /mai /2008 09:49
La municipalité, au cours du dernier Conseil Municipal, n'a pas été tenue informée d'un problème d'eau polluée chez Mme Gonon à Laudrière. Qu'en est-il vraiment et quelles solutions sont-elles proposées pour y remédier ?
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Collectif Citoyen de Larajasse
  • : Lieu de communication des citoyens de Larajasse. Il s'agit de partager l'information relative à la vie de la commune, de favoriser les échanges entre citoyens,voire d ëtre capables de faire des propositions pour améliorer nos conditions de vie actuelles et futures.
  • Contact

Participez aussi !

- soit en postant vos commentaires sur l'article concerné :cliquer « ajouter un commentaire » (il faudra renseigner les champs, taper son commentaire, recopier les 3 lettres peu visibles pour validation et poster son commentaire)

 

- soit en envoyant un article sur un sujet concernant Larajasse à l’adresse suivante : citoyenjarsaire@laposte.net (n'oubliez pas de signer votre texte !) .N' ayez pas de complexes, on ne vous demande pas d' être prix Nobel de littérature ,c' est le contenu qui compte !

Dates du Conseil Municipal

Les réunions ont lieu en général le jeudi à 20h30 au premier étage de la Mairie.
Ces réunions sont publiques, tout le monde peut y assister .N' hésitez pas, il y a toujours du public.
Dates 2010: , mercredi 10 novembre, jeudi 9 décembre.

Archives

Responsabilité

Tout visiteur du blog, désirant poster des commentaires ou publier des articles, devra respecter les lois en vigueur. Vous êtes responsable du contenu que vous souhaitez diffuser. Toutefois, sachez que vos propos seront analysés avant leur diffusion sur ce blog afin que ceux-ci ne soient pas contraires à la loi française. Par exemple, vos messages ne devront pas être violents, injurieux, diffamatoires, racistes ou révisionnistes. Ils ne devront pas également inciter à la haine ou à la discrimination.