13 mai 2008
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22:08
Un courrier fut envoyé à Madame le Maire, par les 14 colistiers de la liste portée par Annie Poirot :
Madame Le Maire en fit lecture au conseil municipal du 11 avril 2008. Ce qui suscita 3 réactions :
Une de Madame Véricel : "on ne vas sûrement pas reculer! "
Une deuxième d'un nouveau conseiller: "on pourrait peut-être mieux communiquer? ".
Et la troisième d'un autre nouveau conseiller : celle-ci fut une pure agression en règle contre Anne-Marie Poirot sur le contenu de sa campagne électorale
Mon commentaire :
N'aurait-il pas mieux fallut s'orienter vers une analyse de l'esprit du courrier, plutôt qu'en rester aux lettres?
La deuxième réaction ne provoqua même pas un mouvement de sourcil de la part des anciens conseillers.
La troisième réaction me parut ni spontanée, ni personnelle. quel désespérant anachronisme au moment d'un rassemblement de la population et de ses forces. Cela aurait pu être l'opportunité de faire la synthèse, d'avoir une vision de l'avenir, de penser au bien-vivre à Larajasse pour l'ensemble des habitants, en ne laissant personne sur le bord du chemin.
Régis BASTION
Madame Le Maire en fit lecture au conseil municipal du 11 avril 2008. Ce qui suscita 3 réactions :
Une de Madame Véricel : "on ne vas sûrement pas reculer! "
Une deuxième d'un nouveau conseiller: "on pourrait peut-être mieux communiquer? ".
Et la troisième d'un autre nouveau conseiller : celle-ci fut une pure agression en règle contre Anne-Marie Poirot sur le contenu de sa campagne électorale
Mon commentaire :
N'aurait-il pas mieux fallut s'orienter vers une analyse de l'esprit du courrier, plutôt qu'en rester aux lettres?
La deuxième réaction ne provoqua même pas un mouvement de sourcil de la part des anciens conseillers.
La troisième réaction me parut ni spontanée, ni personnelle. quel désespérant anachronisme au moment d'un rassemblement de la population et de ses forces. Cela aurait pu être l'opportunité de faire la synthèse, d'avoir une vision de l'avenir, de penser au bien-vivre à Larajasse pour l'ensemble des habitants, en ne laissant personne sur le bord du chemin.
Régis BASTION
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